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A genoux devant sa Reine
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9 août 2006

Sébastien, Thibault, F.-J. et moi.

Depuis plusieurs jours, silence radio sur ce blog. Paresse et sur-activité en constituent l'origine, voire la justification. Entre un monticule de travail et beaucoup de sorties, l'envie et surtout le temps de rédiger faisaient défaut !

Le boulot s'entasse sur mon bureau et je ne vois plus le temps passer. Une impression agréable qui succède à des journées interminables. Pour une fois qu'un job m'intéreesse... Tout arrive !

Dernièrement, j'ai multiplié les sorties. Parmi les temps forts : une soirée chez Véronique, remplie de rires et de bonne humeur (nos thèmes obsessionnels une fois de plus "décortiqués"). L'art de ne pas se livrer en se voyant pour mieux multiplier les alertes via messenger ou outlook... La visite de l'appartement acheté par Sébastien. Un espace fort agréable et lumineux qui deviendra plus que formidable après la réalisation des travaux qui trottent dans la tête de ce haut fonctionnaire, qui trouve malgré tout le temps de me téléphoner à la DAC presque tous les après-midi ! Dernièrement, la multiplication et - si j'ose écrire - la qualité de nos conversations ne cessent de croître. Comme je sais qu'il lit ce blog et qu'il ne supporte pas que je parle de lui, je n'en dirais pas davantage. Reste que j'enrage à l'idée qu'il gagne, peut-être, notre pari en ce moment....

Une soirée "retrouvailles" chez Carmen et Jean-Charles, qui avaient eu la très bonne idée de convier leur Foyne ainsi que Valérie et Jimmy. Mon rire d'otarie résonna sans discontinuité eu égard à la fantastique bonne humeur de la soirée. (Aparté : pourquoi l'anecdote de la Danette a-t-elle autant marqué les esprits ?)

En début de semaine, Romain "Dé Marie Laforé" est venu pour dénicher un studio parisien. Du coup, nous nous sommes vus plusieurs fois. Sans donner son adresse, uniquement disponible sur demande et accompagnée de photos, il habitera à dix minutes de la rue Rampal. 

Avant le voyage pour Montréal, impossible de ne pas rencarder Mélissa. On ne sait jamais, si je ne revenais pas, autant se confier, sans langue de bois, à une amie formidable. Sa capacité à ne pas se scléroser me rassure à chaque fois. Je la crois posée, réfléchie, installée, rangée,formatée, elle se révèle évaporée, bordeline, prête "à vendre le restaurant". Une future vieille dame indigne. Ouf !

Bref, si j'oublie de moments forts, je plaide coupable. Je dois néanmoins mentionner le fait que certains (je ne citerai personne mais Sébastien C. et L. H. peuvent se sentir visés) s'oppose, ou tout du moins, apprécient modérément de se découvrir en héros de ces pages.

Finalement, je réalise que mon départ pour le Canada me permet de mettre un terme à dix jours exténuants. A raison de deux ou trois heures de sommeil par nuit, je ne pense pas que j'aurais pu tenir ce rythme encore longtemps. Je savais bien que cette parnethèse euphorique s'achèverait rapidement aussi en ai-je profité, abusé.

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